L’Histoire de la clé d’or !
Cette clef qui pend du ciel
Est-elle la clef de la délivrance?
La clé du bonheur, de la joie, de l’insouciance
Ou peut être est-ce la clef pour comprendre l’essentiel?
Notre planète a besoin de notre attention.
Notre société doit se poser des questions:
A ce virus, qui fulgurant touche la terre entière,
Malgré des passions, nous devons trouver la solution!
De ces docteurs d’égo, qui peut nous éteindre ce virus incendiaire?
Oui c’est 1 guerre sanitaire qui se transforme en guerre financière
Oui c’est 1 catastrophe mondiale, sociale, planétaire!
Donc oui, nous devons réfléchir sur notre vie, notre façon de fonctionner!
Réfléchissons à ce qui est essentiel et retournons peut être à la simplicité…
Le 14 Mars à 20h, j’ai ressenti comme 1 tremblement de terre
Notre 1er Ministre, le Coronavirus dit il vient de nous frapper!
De confinement, je le regarde, je bois ses paroles comme assommé!
Personne n’avait anticipé en réel ce mal, cette plaie!
Coïncidence, Pessah (Pâques juive) pointe son bout du nez!
A la célébration des 10 plaies d’Egypte, je rajouterai ce fléau!
Dont l’intensité nous a soudain abîmé notre météo!
Semaine après semaine nous constatons le mode pause de notre économie
Désormais se superposent rideaux de fer et vitrines vides de nos lieux de vie!
Des villes entières se vident et se transforment en ghost city!
Tandis que le torrent des flux médiatiques se déchaîne telle une diarrhée sans arrêt
Alors, Docteurs, professeurs, politiques, économistes, scientifiques se succèdent à notre chevet
Développant pêle-mêle, leurs théories et leurs egos, mais sans avoir la solution du brevet
1 Raoult en cache un autre, de confinement ou non confinement par l’immunisation de masse
A chacun sa vision, mais n’oubliez pas de prendre la clé qui nous libère de cette merde!
Épargnez nous vos théories, essayons ensemble de faire que cette clé soit de l’or
Prenons de la hauteur, pour éviter d’être noyé par les rumeurs et fausses théories!
J’ai envie de retrouver l’art de gambader, de me baigner, de sauter, d’éclater de joie
D’écouter de la musique, de faire des accolades, de nager comme un labrador!
Rangeons notre égo, nos rivalités, évitons d’être des abrutis et profitons de notre galaxie!
Que cette clé d’or puisse bientôt tomber!
Pour rallumer l’étincelle de la vie dans nos pays, villes, villages
Attention, pour cela, respectons le confinement et soyons sages!
Pour qui sait patienter, alors j’espère nous pourrons bientôt chanter
Victoire, nous avons vaincu l’ennemi et nous pouvons retrouver un sommeil d’or!
2020 : L’année du virus inattendu
Personne n’oubliera cette année
2020 marquera toutes les psychés
Le virus s’est progressivement infiltré dans le monde entier
Les chinois furent les premiers touchés
Et comme une vague effrénée
Elle poursuivit sa course incontrôlée
C’est la planète entière qui fut infectée
Et plus d’un milliard de personnes confinées
De jeunes non scolarisés
Les hôpitaux se sont vite retrouvés
Remplis de personnes âgées fragilisées
Mais rapidement on apprit à la télé
Que nul ne pouvait être épargné
Du jour au lendemain se sont retrouvés fermés
Nos restaurants, magasins, cafés préférés
Où nous-nous retrouvions habituellement pour acheter, discuter,
Se rencontrer, échanger, bavarder, fêter, s’embrasser, rêver…
Et tout à coup nous sommes contraints à rester enfermés.
Interdiction de sortir, excepté pour aller acheter de quoi manger
Gantés et masqués, sinon nous risquons d’être contaminés
Permission de se promener dans un périmètre imposé !
Pour l’économie mondiale c’est une tragédie annoncée
Dont nombreux ne pourront se redresser
Malgré toutes les mesures engagées.
Quotidien chamboulé, vie sociale réinventée, angoisses exacerbées.
Le télétravail s’est imposé pour continuer à faire avancer
Les entreprises qui survivraient à ce tsunami qui nous est infligé.
Sur les réseaux sociaux de nombreux groupes se sont crées
Suggérant diverses activités pour se relaxer, ne plus stresser
Yoga, séances de gym, lecture, et autres occupations nous sont proposées
Concerts en live sont organisés, un grand élan de solidarité !
Notre vie sociale s’est transformée
En apéritifs et dîners « skypés »
Ou rendez-vous sur « zoom » groupés
Mais ce n’est bien sûr, pas le cas de toute la société
Les plus aisés ou plus insouciants s’amusent à en profiter
Et ont pu imaginer de nouvelles façons de rester connecté
Confinés dans leur belle maisonnée
Pour d’autres il faut se booster, se coordonner, se structurer
Pour ne pas se laisser aller, s’abandonner, voir même couler
Combiner devoirs à la maison et télé-travailler
Semble alambiqué pour l’ensemble de l’humanité
Les plus précaires se retrouvent esseulés
Dans de petits espaces étriqués et limités
Parfois sans même pouvoir manger ni se connecter
Faute de moyens trouvés pour pouvoir les aider
Les personnes hospitalisées et les plus âgés
Enfermées et délaissés sans aucune possibilité
De mitoyenneté avec ami(e)s ou parenté.
Chaque soir confinés, un élan de solidarité
Se répand sur les balcons ou les fenêtres pour célébrer
Nos soignants que nous ne remercierons jamais assez
De tout faire pour sauver toutes ces personnes touchées
Par la bactérie, qui tentent de lutter et résister
Une grande pensée aussi pour les nombreux policiers
Pompiers, livreurs, éboueurs, épiciers
Boulangers, chauffeurs routiers
Grâce à qui notre quotidien peu pour l’instant rester quasi inchangé.
Que d’émotions partagées, réveillées, suscitées
De sentiments évoqués, abordés et remémorés
Ne serait-ce pas là l’occasion rêvée
Naturellement, quand on en a la possibilité
De pouvoir s’arrêter, se calmer, regarder
Marcher, prendre ce temps pour observer
Après s’être pensé plus fort que mère nature
Comment ensemble ouvrir une nouvelle fenêtre pour faire évoluer,
Transformer, modifier notre société
Pour qu’après cette 3ème révolution, nous puissions encore danser et nous embrasser
Il était une fois une planète en colère
Elle nous avait prévenue, la punition serait sévère
Après avoir épuisé toutes ses ressources
Elle nous appelle à la rescousse
Elle nous envoie un cri d’alarme
Une troisième guerre sans armes
Elle plaça l’ennemi dans une chauve souris
Un repas peu commun de nos amis d’Asie
Un pays contaminé en une fraction de seconde
Et suivi de près par le reste du monde
Restos, bars et commerces ont fermés
Nous sommes invités à rester confinés
Que faire face à cette situation innatendue
Tout le monde a déserté les rues
Quand les beaux jours reviendront
Que nous pourront aller au delà de nos balcons
Nous irons explorer cette nature
Qui aura profité de l’absence de nos voitures
Nous irons trinquer dans les bars
De s’être débarrasser de ce salopard !
Le virus de la vitesse
Nous avons la mémoire courte .
J’ai eu le virus de la vitesse.
Il était trés meurtrier
A son pic c’était 18000 morts par an.
Et je ne compte pas les blessés.
Sa cible c’était les jeunes .
Oui les moins de 50 ans.
Il s’est diffusé comme une ivresse.
Celle du souvenir de la roulette russe.
Celle du fantassin de première ligne.
Aujourd’hui nous avons peur.
D’une pandémie qui tue
Moins de 1%
Et surtout les plus de 70 ans.
Les millions qui fument
Avec un paquet ou est écrit
Fumer TUE
NE SE SENTENT PAS CONCERNER
et on nous cache qu’ils sont la cible .
Alors ne faut il pas croire??
Comme dans le bon vieux temps.
Que si on a pris soin de sa santé.
Si on a eu un comportement sans faute.
Que la puissance divine vous donne la force
d’être dans les 99% qui survivront ,
Faut il s’immuniser en se contaminant?,,
Un acte volontaire vous insère t il
Dans le prédictif?
Dans le principe de précaution?
Hollandais et Suédois l’ont choisi!!!!!
Civilisation de liberté
Restons avec des réflexions plurielles .
Avec une pluralité de choix .
Notre civilisation c’est le libre arbitre .
Pour les plus curieux
Découvrez le monde de Maimonide .
Ainsi la résilience aura 1000 ans
C’est la lenteur de’ expérience !!!!!
Rite de passage où erreur d’aiguillage ?
Maintenant on se regarde
Pour éviter trop de proximité
Maintenant c’est chacun chez soi
Pour se rendre compte
Combien le lien est primordial
Maintenant la vie ralentit
Laissant la nature respirer
Comme si c’était chacun son tour
Et nous ramener à l’essentiel.
Que nous dit-il?
Que les erreurs d’aiguillage
Sont nombreuses
Qu’il est temps de se réveiller
Et cibler LA priorité
De remettre l’humain au centre
Du premier au dernier
Parce que chacun a une place
Où qu’il soit.
On ne pourra jamais rêver
D’un parfait équilibre
Mais chacun sait
Qu’une présence à l’autre
Adoucit bien des choses
Et nourrit un sentiment d’appartenance
Conforté par les décideurs
Veilleurs de la marche du monde
Sans nous.
Que ferons-nous
De notre liberté retrouvée ?
Un saut rapide dans la normalité ?
Un retour au quotidien
Avec une nouvelle conscience?
Un changement de cap
Dans les limites de ses possibilités ?
Bien sûr
L’urgence sera de relancer l’économie
De repenser certaines gestions
Mais où sera l’être, l’humain et l’attitude dans la précipitation de faire pour rétablir une certaine sécurité ?
Plus moyen de nier notre vulnérabilité malgré l’ère du progrès constant qui est la nôtre.
Où est-ce la recherche poussée toujours plus loin qui engendre la fragilité ?
Que ferons-nous de notre liberté retrouvée ?
Rêve de fêtes et d ’embrassades
Quand les portes s’ouvriront à nouveau, peau à peau sans peur, ivresse de circuler dans le bruit du monde revenu, tousser sans culpabilité, éternuer dans un éclat de rire, retour à la spontanéité.
Et puis ?
Peut-être pourrions-nous chacun commencer par se demander quel est le manque le plus criant dans cette période particulière.
À mon avis, majoritairement le lien.
Celui qui nourrit et rassure
Celui qui donne du sens, du poids à l’existence.
Celui qui mène de la transparence à la reconnaissance.
Celui qui relie, tout simplement.
Ce jour du vendredi treize,
Je ressentis comme un grand malaise,
Beaucoup de patients reportaient les soins non-urgents.
Pourtant, nous avions les meilleurs détergents, des masques, des blouses et des gants,
Nous ne réalisions pas vraiment que dans quelques jours ce serait le confinement.
Pourtant c’était le printemps !
En même temps que les magasins et les restaurants
Nous avons suivi les conseils du gouvernement en fermant.
Nous étions une catégorie de soignants très exposés.
Nous soignions les dents.
Il fallait dès maintenant changer notre mode de fonctionnement.
Dorénavant, les consultations se feraient derrière un écran, sauf pour les cas très urgents.
Sacré virus ! Il nous prenait au tournant en nous mettant sur le côté temporairement
et pour combien de temps ?
Nul ne le savait vraiment
Pendant ce temps, de vrais soignants donnaient toute leur énergie
A essayer d’accueillir au mieux tous ces souffrants
Qui suffoquant, arrivaient par multiples de cent
Pénurie de masques, pénurie de gants, d’anesthésiant et de Dafalgan
Tous étaient sur le front comme de vraies combattants !
Un jour, nos savants auront ta peau Covid mais ils seront sur les dents,
Car te vaincre pour les soignants et les patients, c’est épuisant.
Alors, finalement, ce confinement n’est pas si astreignant quand on a la chance d’être bien portant !
Nous voici en plein hiver, en présence d’un pollueur d’air.
Il agit comme une tornade en Chine, lorsque le reste du monde s’indiscipline.
Tout droit sorti d’un pangolin, responsable des pénuries de sopalin.
Son histoire pourrait devenir une série, mais aujourd’hui elle rythme notre vie.
L’annonce de sa propagation, engendre des mouvements de populations.
La puissance de son invisibilité, agit comme un K.O anticipé.
Plus aucune foule ne se déhanchent, laissant la place aux masques étanches.
Se présence est bien réelle, alors que nul n’est immortel.
Des milliards d’humains confinés, unis pour le dézinguer.
L’individualisme offre sa place au collectif ;
Le scepticisme se transforme en inventif ;
Et la créativité de certains, permet de fournir du gel antibactérien.
Passer sa journée en « visio », donne de l’espoir aux hôpitaux.
Et rien ne sert de prendre l’air, si c’est pour attraper une attaque pulmonaire.
COVID-19 tel est ton nom, c’est la fin de ton expédition.
Comment pouvoir rédiger
Quand les idées restent figées
Sur ce foutu confinement
Qui nous empêche de rêver
Pourquoi s’habiller pour un semblant de journée
Alors que nous sommes tous cloîtrés
Et que nos journées sont inchangées
De la lecture à la peinture
Réussir à s’occuper va devenir très dur
Ressentir comme un sentiment d’irréalité
qui reste de jour en jour imprimé
Je ne saurai comment l’exprimer
Au vue d’ une telle énormité
S’amuser à créer de nouvelles recettes
S’ avère suffisant pour satisfaire mon esprit
Je ne cherche qu’à m’aérer la tête
car pour le moment COVID nous a tout pris
On en rigolera bien de ces beaux dessins
Qui nous auront autorisé à nous rêver artiste
Pour cette petite période au moins
Je pourrai dire m’être sentie impressionniste
Aujourd’hui étonnamment
Je rêve d’embrasser mon boulanger
De rater le métro en courant
Voir même d’entendre le facteur sonner
Alors que jusqu’à maintenant
Ces actes me semblaient insignifiants
La France est en silence, elle a pris le maquis
Elle rentre en résistance, Dix sept Mars à midi
Les rues se sont vidées de leur humanité
les parcs qe sont tus des cris de ses enfants
Les terrasses bruyantes, ont été desertées
et dans les restaurants, plus un seul “chaud devant”
Les marchés du dimanche ont fermé leurs étales
Car la promiscuité paraît il est fatale
la distanciation est devenue sociale
Et le geste barrière une necessité vitale
Le Paris d’Hemingway, s’est volatilisé,
Plus de baisers volés, plus de fêtes arrosées
Plus de trottoirs souillés, de voisins excédés
Plus de trames bondés ou d’avenues saturées
Plus d’école, plus de collège, de fac ou de lycée
Les jeunes les premiers ont tous été priés
de stopper sans attendre, toutes leurs activités
Coupables désignés, Danger pour leurs ainés
La France est en souffrance, elle se sent désarmée
Face à cet ennemi, ni visible ni armé
Qui malgré tout avance, menace de décimer
De par sa virulence les plus fragilisés
La France qui nous soigne, cri fort son désespoir
Elle qui voit affluer, ces corps contaminés
Sa violente détresse n’est pas respiratoire
Mais elle hurle au danger à s’en époumoner
Rangez votre insouciance, s’il vous plait par pitié
Soyez à nos côtés et combattons ensemble
La guerre est déclarée nous allons la gagner
De Confinée à Libérée
J’étais une personne extravertie. Non pas au sens commun du terme mais au sens de Carl Gustav Jung. L’extraversion est selon lui un trait de caractère où l’énergie circule vers l’extérieur (les personnes, les faits, les objets), et l’introversion vers l’intérieur (la pensée et les sentiments). Selon lui, ce trait de caractère est inné : on naît quelque part sur le continuum introverti extraverti, plus ou moins d’un côté ou de l’autre. Il considérait également que, bien que ce trait de caractère soit inné, il est tout à fait possible de se déplacer sur ce continuum au cours de sa vie, et en fonction des situations.
Et bien je suis en train de le vérifier en direct, maintenant, dans ce laboratoire vivant qu’est la planète envahie par ce satané virus Covid-19. J’étais donc une personne tournée vers l’extérieur dont je tirais toute mon énergie. Un week-end réussi pour moi devait être une tornade joyeuse ; de la danse, un brunch, un diner, une expo… J’aimais avant tout le partage, les discussions. Je m’enrichissais du savoir d’autrui, je m’épanouissais à soutenir mes amis, je dégustais les moments où sortant d’une pièce de théâtre ou d’un concert nous nous racontions nos émotions. Je ressentais lors de ces réunions de grandes bouffées de bonheur. Je le sentais vraiment physiquement sur mon torse comme une douce chaleur qui soulevait ma peau de l’intérieur.
Et tout à coup, blam, enfermée, seule dans mon appartement. Mes enfants étaient à l’étranger, mon chéri dans son appartement à l’autre bout de Paris et moi ici dans un appartement où je ne reste jamais plus de 3 heures d’affilées. Bien sûr j’ai l’habitude d’y travailler mais ma journée d’isolement est souvent égayée par un déjeuner avec des amis ou se termine par un spectacle.
J’ai tout d’abord ressenti un grand vide. J’étais désorientée, je n’arrivais plus à me concentrer. Je me dispersais constamment sur tous les messages concernant le COVID-19 dont j’étais bombardée toutes la journée par mon bureau, les journaux, les amis, la radio. Je suis passée par des phases de déprime pendant quelques jours. Mon travail n’avançait pas, j’avais mauvaise conscience. J’étais fragmentée, mon esprit craquelait comme la terre brulée d’Afrique. J’ai fini par tout plaquer et suis partie marcher au soleil en appelant une très bonne amie. J’ai ressenti tous les éléments avec tellement de force. Les bruits habituels de la ville avaient disparus pour laisser le vent chuchoter à mon oreille.
J’entendais les oiseaux, le bruissement des feuilles, les graviers craquer sous mes pas. Je sentais quelques mèches de cheveux frôler mon cou, la chaleur du soleil et l’odeur caractéristique de la peau sous ses rayons. Cette petite sortie m’a rechargée. Je suis passée à la phase suivante. J’ai pris ma vie de confinée en main. Fini les pleurs, J’aime passer du temps avec mes amis et bien allez je vais organiser tout cela. Vive la technologie, Zoom, Teams, Facetime, Skype, j’ai commencé à planifier des déjeuners en ligne, des apéros web, des cours de danse en ligne, du Cross fit avec l’association sportive du bureau. Puis j’ai reçu des sollicitations de toutes part pour des visites de musées en ligne, des concerts live sur Facebook, des livres à disposition… Les messages ont fusé sur tous les groupes de discussions. J’ai ri, j’ai appris, j’ai été émue.
Chez SAP, nous avons l’habitude de travailler à distance, l’activité continue et est même devenue plus intense afin de soutenir les entreprises par des moyens technologiques. Je me suis prise à rêver d’avoir moins de travail pour pouvoir profiter de toutes ces offrandes culturelles. J’ai eu la sensation d’être débordée par toutes ces activités et cela me procurait du bien-être.
Paradoxal non ? Je suis bien, là ou d’autres sont angoissés. J’ai découvert quelque chose sur moi-même. Je peux profiter de ma vie chez moi. Je vois mes amis beaucoup plus. J’ai plus de temps pour créer, pour cuisiner. Je me suis mise à faire du pain, à raconter mes journées en vidéo, à travailler sur des projets chorégraphiques dans mon salon, à soutenir ceux que la situation terrorisait.
Les Asiatiques pensent que dans toute crise, il y a un effet bénéfique. J’en suis certaine. Certes il y a aussi du mauvais. Commençons par celui-là puis oublions. Une guerre, puisque oui nous sommes en guerre, exacerbe tous les comportements. J’ai été particulièrement frappée par cette peur de manquer qui a poussé une foule enragée à dévaliser les magasins au détriment de toute raison et paradoxalement de toutes précautions de distanciation de base. Une meute enragée de vachettes n’auraient pas fait pire. Ils étaient tous agglutinés à l’ouverture des supermarchés comme si leur vie en dépendait et n’auraient pas hésiter à se piétiner pour attraper des rouleaux de papier toilette.
Les effets de la panique et de l’individualisme sont effrayants. Hier Un tableau de Vincent Van Gogh a été volé au musée Singer Laren près d’Amsterdam, alors qu’il était fermé en raison de la crise du coronavirus. La créativité maléfique s’exprime. Des crétins volent des masques pour les revendre au plus offrant. Certaines pharmacies n’hésitent à monter les prix. Des voisins demandent à des soignants d’aller habiter ailleurs ou pire glissent des lettres anonymes sur le pare-brise de leur voiture. En Belgique, L’épidémie du Covid-19 a disséminé un autre virus : celui de la dénonciation. Ces réactions sont glaçantes dignes de ce que nos parents et grands-parents ont vécu pendant la dernière guerre.
Heureusement, je vois aussi énormément d’élans de solidarité individuelle, collective ou entrepreneuriale. La semaine dernière j’ai appris que des voisins de mon amie Sophie, à Philadelphie, récupéraient de vieux draps pour fabriquer des masques de fortune avec des filtres d’aspirateurs. Des personnes proposent d’apporter des courses aux personnes non mobiles ou en grande fragilité. Des propriétaires proposent de loger des soignants près des hôpitaux. Des entreprises proposent des services ou des produits gratuitement. Tout cet élan de solidarité me touche. Cette crise rapproche les gens, fait ressortir notre humanité perdue dans une course effrénée. Nous avions oublié de nous parler, de prendre le temps de nous aimer, de nous aider, de nous écouter.
Les familles qui ont la chance d’être ensemble redécouvrent le plaisir de jouer ensemble, de se parler tout simplement. Au bureau nous organisons des pauses café avec nos pairs du monde entier. Nous nous découvrons réellement, partageons nos valeurs, notre culture, découvrons nos points communs ou nos différences.
Nous travaillerons différemment à l’avenir, nous ferons plus d’effort les uns envers les autres.
Ce confinement n’est pas un enfermement, C’est une ouverture vers le monde, vers la solidarité, vers les autres, vers sa famille. C’est une prise de conscience qu’il n’y a qu’ensemble que nous devenons plus forts. C’est une reprise du pouvoir de la nature. C’est une opportunité de réflexion sur notre avenir ensemble. J’ai grandi, j’ai changé, je le dois à tous ceux qui ont perdu la vie pour que leur malheur nous rendent meilleur.
Le Monde tout entier semble plongé dans un mystérieux sommeil.
Pas un bruit. Plus de cris d’enfants dans les cours de récréation, aucune bousculade dans le métro, les chaises sont empilées sur les terrasses, les friteries ne sentent plus la frite, les comédiens ont rangés leurs costumes
et nulle voiture nous empêche de respirer….
Je respire…. l’air est frais, sain, vivifiant!
En me promenant dans les rues et les quartiers déserts, quelque feuilles virevoltants autour de moi,
je ferme les yeux et savoure le silence.
Je croise des oies sur la route …. quelques renards prennent tranquillement leur déjeuner dans les poubelles éventrées.
Quelle absence de vie humaine…..à la fois si reposante
et tellement terrifiante!
Car ce n’est pas seulement mon quartier, ma ville, mon pays qui est paralysée; c’est le monde tout entier!
Anesthésie générale du globe!
Alors comment ne pas se poser la question quant à notre part de responsabilité?
Quel rôle avons nous joué pour pour que cette terre, que nous avons reçue en héritage, nous envoie ce message si lourd de sens?
La Terre Mère reprend ses droits!
Ce sentiment profond de justice naturelle me hante et me plonge dans une méditation inhabituelle et incontournable.
Je pourrais me lamenter, pousser des cris de rage ou trembler de panique.
Je pourrais faire des cauchemars de faillite, rêver de l’enfer ou du paradis, me trouver des maux divers,…..
Mais il n’en est rien de tout cela.
Au contraire. Après tempêtes et vagues effrayantes la mer est redevenue calme, lisse et accueillante.
Je peux y jeter l’ancre et ressentir une sérénité profonde et apaisante.
Bercée par le doux souffle du vent, l’âme de la mer me fait cadeau de son optimisme et sa volonté de vivre!
OUI, la mer, c’est elle qui me fait vibrer, c’est auprès d’elle que je veux vivre!
Je veux y plonger mon corps nu, sentir les courants caresser ma peau et goûter le sel sur mes joues.
Je veux jouer avec les vagues, nager avec les poissons et plonger pour ne faire qu’un avec elle.
La Terre Mère reprend ses droits! Elle a bien raison la Terre Mère!
Alors anesthésie ou piqure de réveil??
Pour ma part, je replonge dans ce sommeil forcé pour me reconnecter avec mes rêves et renouer avec la vie, la terre et ses merveilles.
Futile vous dites?
J’ai la profonde conviction que non.
La planète nous à donnée vie; me réconcilier avec elle et réapprendre à l’écouter me paraissent un accomplissement en soi!
En espérant que Mère la Terre m’en sera reconnaissante….
Dans quel monde vit-on ?
Depuis plusieurs mois les catastrophes ne cessent de se succéder
Le 15 avril 2019, le toit de Notre Dame a brulé
De nombreux samedis, des gilets jaunes se rassemblent pour manifester
Et de violents casseurs en profitent pour tout détériorer
A la SNCF, pendant 3 mois les trains sont à l’arrêt
Les salariés refusent de voir leurs retraites réformées
Les actes terroristes se multiplient dans les églises & les mosquées
En France, des régions entières sont inondées
Aux Etats-Unis la Californie brûle sans arrêt.
En Australie, la faune & la flore de régions entières sont dévastées
Sur notre planète Terre, des espèces disparaissent à
tout jamais
Les océans se remplissent de plastiques jetés.
Je pense que les Hommes ont exagéré.
Et aujourd’hui, un virus, nommé Coronavirus ou Covid 19 , de Chine a voyagé
Au début on ne s’en est pas assez méfié
Voyant les actualités en Chine, nous ne nous sentions pas en danger.
A Paris, un racisme envers les chinois s’est développé.
Or il aurait été plus judicieux de s’en inspirer.
Leurs techniques paraissant abusives, auraient dû être exportées.
Au lieu de cela, l’Europe s’est un peu moquée
La ministre, Agnès Buzyn a rassuré les français
Comme quoi ils ne seraient jamais touchés
Tout notre stock de masques, en Chine, a été envoyé
Les français trouvaient tout cela un peu exagéré
« Après tout ce n’est qu’une grippe » comme toutes les années
C’était en janvier, nous nous sentions encore épargnés
Puis l’épidémie a passé les les frontières pour mieux s’exporter
En avion, en bateau, en voiture, le Corona a voyagé
Alors que les chinois étaient extrêmement confinés
Les rues de Wuhan, Shanghai, Pékin étrangement vidées
Ces mégalopoles qui d’habitude ont un rythme effréné
S’étaient tout d’un coup mises en pause, à l’arrêt
De notre côté, nous en rigolions à la sortie des récrés
Puis un jour, l’Iran, l’Italie ont été touchés
Très rapidement le bilan a progressé et le nombre de morts a augmenté.
En France on en était encore à hésiter
Le dimanche 15 mars, pour les élections municipales, les français ont été voter
L’Etat a choisi entre la politique et la santé
Alors qu’ils avaient déjà proclamé toutes les écoles fermées
Peut-être aussi fautive, pour la Martinique, je me suis envolée
Sentant égoïstement que c’était peut-être une des dernières opportunités
Pensant à un éventuel confinement, j’ai nagé en toute liberté
Puis notre Boeing 777 à Orly nous a ramenés
De plus en plus stressés par cette promiscuité
Alors que Macron avait déjà interdit les rassemblements de plus de 100 pelés
En métropole, le rythme n’est déjà plus en accéléré
Les bus, les trains se sont espacés
Gare Montparnasse, les Parisiens tentent de s’échapper
A mon grand soulagement, j’arrive à retrouver mon foyer
Et à mon avis, ma valise, pour un moment sera rangée
En effet lundi 16, en direct du JT, Macron nous demande de rester confinés
Les filles ont d’abord sauté de joie à l’annonce des ecoles fermées
Puis ont finalement réalisé que ce ne serait pas si gai
L’école à la maison c’est un peu compliqué
Klassroom, Zoom, Loom, l’Ecole Directe, autant d’applications auxquelles je vais devoir me familiariser
CP, CM1, 6ème, il va falloir s’organiser
Mais sans télétravail, c’est tout de même plus facile à réaliser
Eric est lui aussi appelé à se confiner pour travailler
Jusqu’au jour où tous les Brioche Dorée ont fermé
Et là c’est le chômage partiel qui a commencé
Pour se ravitailler, il ne faut pas se précipiter.
Masque, gants, attestation de sortie, il ne faut rien oublier
Les réseaux sociaux aident à la solidarité
Un whatsapp de voisines de quartier s’est créé
Blagues, astuces, commandes groupées défilent toute la journée
Un élan d’humour, de blagues en tout genre a également éclaté
Quelle créativité ce virus aura t-il entraîné !
Les téléphones permettent également de rester en contact avec nos familles, amis éloignés
A l’heure de l’apéro, whatsapp nous permet de nous changer les idées
Quant à nos aînés, je trouve qu’ils ont mis du temps à réaliser
Et cela n’a pas été évident de leur prier de rester confinés
Le soir à 20h tout le monde applaudit aux fenêtres les soignants plus que dévoués
Qui jour et nuit se rendent au travail pour aider les malades à respirer
En effet, après des maux de gorge, de la fièvre, l’insuffisance respiratoire est plus dure à gérer
Aujourd’hui, lundi 30 mars, voilà où en est notre société
Situation irréaliste qui n’avait jamais existé
Trois milliards d’êtres humains, chez eux confinés
Et ce fichu virus ose pointer le bout de son nez dans les pays chauds qu’on a d’abord cru épargnés
Que vont devenir l’Inde, l’Afrique où règne la pauvreté ?
2020, une Révolution est née
Quelles leçons allons-nous en tirer ?
Confinement Jour 24.
Près d’un mois déjà que nos horizons ont été brutalement rétrécis , du jour au lendemain.
1 km autour de notre foyer , c’est la distance maximale que nous pouvons parcourir.
1 heure , c’est la durée maximale de chaque sortie .
Notre maison , qui se transforme la semaine en école et en bureaux tout en n’oubliant pas la fonction nourricière du foyer où tous ses membres y prennent maintenant 3 repas par jour.
Les magasins d’alimentation de temps en temps et de brèves sorties sportives nous font croiser quelques passants ou voisins .
Cette période où beaucoup de salariés se sont vus suspendre leur contrat de travail pour une durée indéterminée , en les invitant à se recentrer sur leur vie personnelle et familiale contre une indemnité , nous fait forcément réfléchir.
A ce qui nous manque en ce moment d’abord .
Les salariés en chômage partiel se sont vus retirer leur activité professionnelle moyennant une indemnité qui couvrira tous leurs frais.
C’est ce qui leur manque aujourd’hui.
C’est l’Etat qui prendra soin d’eux pendant cette période pour permettre à leurs employeurs de mieux passer la crise.
Certains d’entre eux n’avaient jamais connu cette précarité soudaine ,
leur rappellant d’une façon un peu violente que leur sécurité de l’emploi , garantie par leur fameux CDI ,
pouvait voler en éclats en cas de crise à laquelle leur entreprise serait confrontée.
7 millions de personnes se demandent aujourd’hui quand ils pourront reprendre une activité normale et si leur entreprise se remettra de cette crise sans supprimer leur emploi.
C’est se rappeler aussi qu’en entrant dans cette entreprise beaucoup plus grosse qu’eux , ils faisaient confiance à une organisation qui braverait les tempêtes pour leur garantir à eux et à leur famille une forme de « sérénité » .
Du jour au lendemain , tous ces salariés comprennent que dans certaines périodes , les salariés ne sont que les variables d’ajustement d’entreprises qui ne peuvent pas toujours être en croissance.
Cette période en fait partie.
Les Etats-Unis créent eux pendant ce temps-là de vrais chômeurs qui sont peu ou pas indemnisés.
Ils n’ont plus de contrat de travail du tout. Ils sont confinés chez eux sans nouvelle source de revenus.
Ce sont près de 7 millions de nouveaux chômeurs qui ont été créés cette semaine
Mais au-delà de cette inactivité contrainte , cette période de confinement est aussi un vrai éclairage sur nos vies personnelles , ces vies que nous avons en-dehors du travail .
Les personnes célibataires confinées seules se rendent compte qu’elles n’ont en ce moment apprivoisé qu’elles-mêmes pour vivre à leur côté.
Les couples n’ont plus d’autres alternatives d’interactions humaines que de composer avec leur conjoint.
Les familles se retrouvent ensemble 24h/24 dans ce foyer où souvent les agendas des parents et des enfants en faisaient un point de rassemblement plus qu’un point de stationnement.
Les parents et les enfants s’observent , et ré-apprennent parfois à fonctionner ensemble.
Les grands enfants revenus au bercail doivent ré-apprendre à supporter la proximité de leurs géniteurs et leur surveillance bienveillante.
Si certaines familles ont du rester séparées pendant le confinement , c’est bien cela qui manquera le plus à leurs membres : le fait de ne pas être ensemble.
Pour ceux qui ont connu des confinements plus difficiles , guerres ou cavales , celui-ci est plutôt confortable : aucune pénurie alimentaire , les rayons pléthoriques des supermarchés continuant de crouler de marchandise .
Les meilleurs artisans et maraîchers se proposent même de vous livrer à votre porte.
L’offre culturelle en restant chez soi est aussi renouvelable , Internet permettant de trouver le bonheur de chacun .
Mais alors qu’est-ce qui nous manque le plus ? Sans doute ce qui nous réunit dans la catégorie des êtres humains : le contact humain.
Ce qui nous distingue en tant qu’êtres humains de la plupart des animaux c’est cette façon de nous fédérer autour d’objectifs ou d’évènements pour mettre en commun nos talents professionnels ou partager nos émotions.
Le télétravail , qui explose ces jours-ci , pose d’intéressantes questions sur la nécessité absolue de partager des moments de présence physique avec ses collègues pour accomplir certaines tâches.
Si celui-ci peut pour partie se révéler très efficace , chacun sait aujourd’hui qu’il est plus difficile de travailler avec un collègue que l’on n’a jamais « rencontré » physiquement.
Il manquera à cette collaboration cette « connexion émotionnelle » qui se crée dans des locaux communs.
Pourquoi est-il parfois plus agréable , même pour une personne seule de se rendre à la terrasse d’un café pour en boire un plutôt que de le boire seul dans sa cuisine ?
Alors , à ce moment précis où une bonne partie de l’humanité a dû mettre sur « pause » tous ses projets de croissance économique , au moment où aucune consommation superflue n’est plus possible , c’est bien maintenant que nous comprenons que ce qui nous manque est ce qui fait de nous des « animaux sociaux ».
Nous avons besoin de notre dose d’interactions sociales « physiques » , dans le sport , le travail , le commerce ou la religion .
Il est probable que les célébrations de Pâques qui commencent dans les différentes religions auront une saveur très différente cette année.
Un prêtre , un rabbin ou un immam célébrant un office dans un lieu de culte vide , certes retransmis en vidéo en direct , ne fera pas vivre ses messages avec la même intensitéque d’habitude lorsque dans un décor historique et parfois grandiose il en appelle au sens des fidèles en diffusant des odeurs , en jouant sur des lumières et en diffusant des musiques qui résonnent et font vibrer les populations rassemblées.
Aucun échange vidéo même live et même avec un groupe de personnes connu ne peut faire ressentir les mêmes émotions que des réunions physiques.
Certains scientifiques s’ interrogent sur les réelles fonctions des phéromones que les humains partagent avec quelques « insectes sociaux ».
Quelque soit le nom que l’on donne à ce phénomène , le rassemblement des êtres humains leur fournit des connexions émotionnelles différentes qui ont bien un côté animal.
Ce sont ces échanges de connexion émotionnels qui nous manqueront donc en premier lieu , et une fois que la technologie nous aura apporté tout ce qu’elle peut , il restera ce qu’elle ne peut pas transmettre : ce désir irrépressibles des êtres humains de se rassembler pour partager leur condition au sein du grand Tout de l’Univers.
Coronavirus
A cause du Coronavirus nous sommes contraint de rester chez nous, pour limiter le nombre de personnes atteinte par cette maladie. Nous devons respecter les règles suivantes : 1) rester confinées 2) se laver régulieremment les mains 3) sortir uniquement pour faire les courses ou faire du sport. Le soir, à 20 heures nous devons applaudir en hommage au médecins, infimieres… Les personnes atteintes par le Covid 19, ou appelée plus communément le Coronavirus ont des maux de gorge, de la température et dans le pire des cas
des problèmes respiratoire. Quand Mr Macron à annoncé, qu’il fallait rester confiner, sans mentir j’ai sauté de joie car l’école ferma, mais en réflechissant il y avait qand même beaucoup de points négatifs. Comme par exemple, on ne verrait plus nos amies… Il faut quand même travailler, donc nous ressevons les cours sur école direct, (un site internet) nous avons des visioconférences d’anglais, de français, de maths ou ecore même de sport de sport. Mais il y a aussi des avantages de ne plus aller à l’école, nous pouvons nous lever quand on le souhaite, nous pouvons faire des pauses à tout moments et si cela nous enchante manger en travaillant !
Conavirus
Un virus est arrivé dans le monde,tout à débuté par une chauffe -souris qui l’a transmis a un Pangolin.Puis l’animal a été vendu au marché de Wuhan,il l’a ensuite donné a un humain.
Malgré ce virus toute les crèches, écoles, collèges, lycés sont fermée.
Nous avons les devoirs par Internet.Il y a des gens qui sont au chaumage!Et tout est fermée nous sommes confiné .
C’est très ennuyent!!Nous pouvons sortir qu’avec une attestation.Il faut y inscrire le prénom, la date, l’heure, et ou on va !!
Tous les soirs on applaudi pour remercier les médecins, les infirmiers et tout ce qui travaillent pour les malades.
Rester confiné et le prudent pour ne pas etre touché.
Coronavirus
Il sec passé une chose estrordinotre larivé , du virusse
On doig aplodire tout les soir , pour les docteur qui travaie
L’ Ecole est fermé.
A la télé il y à une maitresse pour les mate et le français.
Ca change la vie.
Je peux apeler mer copine par Whatsapp.
Ce matin moi et met soers on na fait du sport.
Dimanche on na anonser le confinement.
An France il y a 50000 malade.
Pour moi ses énorme.
Il y an a qui porte un masque.
Pour l’instant je vait bien.
Jet des mandala que nos voisin nous à denet.
Pour moi le coranviruse ses un viruse qui se develope.
R. , 7 ans